La chute [PV: Ryû Kosaki] [Terminé]

Cela faisais presque trois heures qu’ils volaient, les forces de Samhain s’évaporais, l’esprit d’Aros reprenais petit à petit le dessus sur le contrôle mentale de sa maîtresse, elle luttait pour ne pas s’évanouir et tomber dans le néant. Ils étaient arrivés, je ne sais comment, dans un endroit entièrement sombre, seul la boule bleu qui servait de cœur à Aros produisait de la lumière autour d’eux. Sam avais tout de suite remarqué un point blanc à l’horizon, c’était la seul chose que l’on pouvait distinguer, elle ressemblait à une étoile, se disant dis que c’était la sortie, elle avait ordonné au dragon de se diriger dans cette direction.

Samhain relevas la tête, elle était essoufflé, les traits de son visage était déformé par l’effort, elle regarda la petite lumière, et elle perçut une évolution, la lumière grossissait, ils étaient entrain de se rapprocher, enfin, après toutes ces heures à lutté contre l’évanouissement elle se dit qu’elle pourrait bientôt se reposé.

Mais, quelque chose apparus, un son, comme un bourdonnement, comme des milliers d’ailes qui fouettaient l’aire furieusement. Le son était loin, mais il se rapprochait déjà. La sortie devait être encore à un ou deux kilomètre. Le son se rapprocha encore, encore, encore. Et là Sam pus voir la premières des créatures passé dans la lumière bleu du cœur. Sa avait une peau dur, qui ressemblais a une sorte de carapace, une dizaine d’yeux rouges, plusieurs pattes griffus, et des ailes d’insectes.
Elle était passé rapidement, mais Sam l’entendis faire demi-tour et quand la créature revins dans la lumière, elle s’agrippa aux côtes du dragon. L’insecte semblait attiré par la lumière du cœur.



-          Aros, débarrasse-toi de cette bestiole.

La bêtes squelettique déplaças l’une de ses pattes gigantesque et réduisis l’insecte géant en une sorte de bouillis immonde, qui tombas lentement dans le noir. Mais se n’était que le premier et rapidement Aros fut entièrement recouvert de ces choses énormes, et plus ils se rapprochaient de la lumière plus il en venait. Aros se débattais dans tous les sens, venant même s’arracher certaines partie de son corps en lâchant des cries de douleur. Sam ne savais plus si elle contrôlait le dragon ou non, mais se dont elle était sur c’était qu’il détestait ces choses.

La sortie était toute proche maintenant, à peine quelques mètres et ils seraient sortis de cet abîme. Sam était écorcher de partout, les insectes essayais de la dévoré, mais étrangement le dragon faisait en sorte qu’ils ne la touche pas. Aros était en piteux état, mais enfin il se débarrassa des dernières créatures qui c’était accrocher à lui et dans une impulsion, provoquer par ses ailes, il traversa la lumière et ils se retrouvèrent dans le ciel d’une ville.

Une des ailes d’Aros, se fissura, se craquelas et elle se brisa, déséquilibrant la bête qui partie dans une vrille infernale. Le dragon était vraiment affaiblis, les battements de son cœur ralentissaient  de plus en plus et quand il s’arrêta, la boule bleu s’évapora,  dans un dernier crie de tristesse mêler de peur, le corps squelettique d’Aros se disloquas dans les aires.

Samhain chuta seulement de quelques mètres, le dragon l’avais mené prêt du sol. Elle roula dans une ruelle, se fracassa contre une poubelle et s’évanouie.

Froid, humide, le corps tuméfié de l’enfant frémis. Elle peut à peine ouvrir les yeux, mais elle est consciente, elle se fait un rapide diagnostique : sang dans la bouche, dents cassée, deux ; écorchures douloureuses sur le corps, peux profondes, risque minime d’infection, aucun os de fracturer. Temps de guérisons complète, une semaine.

Entrouvrant la bouche, elle laisse le sang et les dents cassé coulé contre le sol froid. Elle inspire profondément, l’odeur de pluie se fait sentir, elle est complètement trempée, les goutes martèle son corps affaiblis. Elle essaye de bouger, mais ses membres ne veulent pas lui obéir, elle insiste mais rien ne se passe, elle n’a vraiment plus de force.

Un son, des bruits de pas se dirigent vers elle, on l’enveloppe dans quelque chose de chaud, une veste ou un manteau, peut être. Puis elle est soulevée, elle arrive à ouvrir les yeux et voir des oreilles de chats, mais sa vision se trouble et elle referme les paupières. La pluie continue de tombé, puis d’un coup elle se stop, ils devaient être entrée dans un bâtiment ou alors ils étaient sous un préau ou quelque chose comme sa.

Ils sont restés là plusieurs minutes, plusieurs heures peut être, elle ne le savait pas, elle s’était endormie contre la personne qui l’avait protégé du froid et de la pluie. La personne avait été gentille avec elle, mais est-ce que cette dite personne allais l’abandonné ? Elle ne le savait pas non plus, mais quitte à être de nouveau seul, autant l’être maintenant avant de s’habituer à sa compagnie et que cette personne partent sans rien lui dire.

Elle se sent un peut plus forte, la preuve est qu’elle arrive à bouger les bras et les jambes, elle se dégage temps bien que mal de la personne qui l’a protégé, gardant sans vraiment le vouloir la veste dans la quel elle est enrouler. Elle pose un pied par terre, puis l’autre, elle se lève, sa vision se trouble, elle ferme les yeux inspire profondément, les rouvrent et avance. Ses jambes flageole, tremble, elle titube à peine quelques pas et elle tombe, se ramassant dans une flaque d’eau. Elle n’a déjà plus de force.

La veste qui protégeai Sam était maintenant totalement tremper, la personne qui l’a protégé viens vers elle, la soulève de la flaque d’eau et retourne sous le porche, nous abritant de nouveau de la pluie. Sortant un mouchoir, la personne commença à nettoyer le visage de Sam, d’abord bourru puis plus délicats à chaque touche sur son visage, faisant devenir chacun de ses mouvements presque agréable. Sam avait pus voir clairement le visage de la personne, la chose la plus intéressante était ses yeux, d’une couleur écarlate, comme ceux de la fillette. Elle pouvait maintenant affirmer que c’était un homme, avec des oreilles de chats où pendaient trois anneaux. Un Neko.

La bibliothèque de l’hôpital était vraiment complète, il y avait toutes sortes d’ouvrage, du comte pour enfant, au traiter de magie noire, passant par l’histoire des Inu et des Neko. Ils avaient été réduits en esclavage pendant longtemps, mais il y a encore peux de temps, ils ont été libérer, leurs permettant d’avoir une vie normale.

L’homme retiras la veste des épaules de la fillette, puis se mit dans une position qui permis à Sam de s’installer confortablement et elle s’endormie de nouveau. Se fût un rêve qui la réveillas, un rêve ou elle revécût le réveille d’Aros. L’étoile sur son bras c’était illuminer, produisant d’étranges éclaires bleus. Plusieurs petites créatures squelettiques avaient été réveillées, un rat, un écureuil et un canari qui avait encore quelques plumes aux ailes, on pouvait voir la petite boule bleue battre dans leurs poitrines d’os. Etrangement, se petit somme avais rendus beaucoup d’énergie à l’enfant.

Samhain les regardas tour à tour, puis s’apercevant qu’elle n’avait pas de cercle de protection, elle décida de les renvoyer, dans un léger mouvement de bras, les trois cœurs bleus s’éteignirent et les petits animaux-zombie s’affalèrent au sol.

Elle porta son attention sur le Neko, se mettant à califourchon son ventre pour pouvoir l’observer correctement.

-          Veux-tu être mon protecteur ?

Son corps réagis sans qu’elle veuille, venant agripper d’une main le pantalon du Neko. Elle ne voulait plus être seul, elle ne voulait plus supporter se poids horrible, cette impression constante d’inexistence, comme si personne ne vous voyais, comme si vous étiez tout simplement invisible. Puis, relâchant le pantalon de l’homme, elle se dit que se serait peut être mieux comme sa, être seul avait été son lot quotidien depuis plusieurs années, même si il y avait eu Elaine, elle avait toujours été un être a part, seul et incompris. Sa main retomba mollement sur sa cuisse et elle regarda devant elle sans rien voir d’autre que les gouttes de pluies qui tombaient sur le sol.

Elle resta là, frémissante à cause du froid, elle ne cherchait même pas à se protéger du vent et de la pluie, la vie suivais son cour, c’est tout. Oubliant rapidement la présence du jeune homme à côté d’elle, elle se recroquevilla dans un coin du porche, ramenant ses jambes contre sa poitrine, elle posa  son front sur ses genoux. On aurait pus croire qu’elle avait toujours été là, qu’elle était une partie intégrante des pierres du porche, comme si elle était là depuis des siècles et qu’elle y serait encore dans plusieurs siècles.